Stalers

Le vent soufflait sur les terres de feu.
Un être sombre approchait,
Seul, il combatterait les deux,
Une force mystique, il obtiendrait.

Le combat serait mortel,
On le savait dès lors de son appel,
Il jeta un regard sombre,
Sur le terrain aux milles ombres.

Stalers sentait la mort,
L'ennemi était bien trop fort,
Un couteau bien caché,
Peu rendre les choses bien plus aisés.

Dans le corp de la bête,
Le couteau manqua la tête,
Un poumon perforé,
Vaut mieux qu'une tête raté.

De retour dans la course,
Une attaque le prit à revers,
De nouveau, il tomba par terre,
Ici se terminait sa course.

Une boule de feu,
Qu'il n'avait pas prévu, non mon dieu,
Le mal qu'il avait t'en répendu,
Enfin, tout lui était rendu.

Le sol était noir,
Comme mes intentions,
Avec la dureté d'un miroir,
Je briserais une faction.

Les lames s'entrechoquèrent,
L'une d'elles allait mordre la chair,
Sous les yeux d'un regard pervers,
Bientôt, ils allaient être en terre.

Des alliés j'avait,
Une punition ils se révelèrent,
Car par derrière,
Le coup, il arrivait.

Quel Malédiction!,
Un sort qui protège sa maison!,
Sous un torrent de glace,
Je perdis ma place.

Libérer,
J'allait me sauver,
Mais sous le regard de mes "alliés",
Je décider de rester.

Sous le ciel noir,
La mort frappa,
À chaque pas,
Je pense s'il faut y croire.

Mais descendu du ciel,
Une ange tourmante la belle,
Avec le pouvoir de l'amour,
Ils me renvoient dans ma tour.

Je craque,
Je suis en larme,
Je craque,
Je n'ai plus d'arme.

Le sol était noir,
Comme mes intentions,
Avec la dureté d'un miroir,
Je suis brisé en une faction.

Un grand vortex apparut,
En sortie un armé inconnu,
La lame est assoiffé,
Le sang fuit l'armée.

Mais juste à côté,
L'oracle du mal,
Est bien décidé à gagner,
Et pour celà, il fera bien du mal.

Avant le combat,
Un effronté là-bas,
Lance un rayon d'énergie,
Ses chances sont maintenant, Anéantis.

Le fraqua des lames,
N'est éguale à la violences des coups,
Encore une femme,
Qui meurt dans un silence doux.

Mais une déesse survint,
Une épée à la main,
Au magicien,
La poigné revient.

De nouveau,
Amhil et Stalers se battent,
Une chose aussi futil que l'eau,
Peu changer une carte.

Emmené par l'épée,
Stalers a retrouver,
Le corp perdu d'antan,
Lui qu'y l'aimait tant.

De retour sur la plaine,
On ne vit plus sa peine,
La fin était iminante,
La mort était omniprésente.

Seul sur le terrain,
Une attaque le retint,
Le chaos le désola,
Et tout explosa.

Son regard fut projeter sur la plaine,
Enfin, il l'avait obtenu,
Il avait rêvé de cette peine,
Cet victoire tant attendu.

Le soleil se levait,
La mort s'implantait,
De nouveau,
Se créait l'énorme anneau.

Du puit noir,
L'armé arriva dans toute sa gloire,
Pour conquérire,
Ils devraient tout détruirent.

Une montagne de crâne,
Stalers surplombait la plaine,

Daiephir s'élança,
Un coup d'épée s'envola,
Inéfficace il se révéla,
Alors bon débaras.

Une fissure dans la terre,
Fit naître une mer,
Mais d'eau elle n'était père,
La lave brulerait la pierre.

La bête mystique,
Lança un assault typic,
L'Oracle, en un tour de main,
Poignardait l'animal sans fin.

Sur le sol,
Le combat continua,
Stalers en avait ras-le-bol,
Daiephir sombra.

Dans la fissure,
Son corp perdure,
Grace à la magie,
Son âme serait guerit

Les flêches volèrent,
La mort marchait,
Dans le terrain de pierre,
Il n'y avait plus de paix.

Dans les coeurs,
Il y a la peur,
Dans chaques coeurs,
Il y a des pleurs.

Encore à ce jour,
La fumé cours,
Le terre est refermé,
Mais les blessures réanimées.

On parlera,
Avec autant d'embarra,
La deuxième épopé,
Des guerres oubliés.