Dans un champs

Sonunka courru aussi vite que ses jambes lui permettaient. Il tourna à droit continua tout droit, tourna à gauche et encore à gauche ensuite à droite. Il se rapprochait de sa maison, il ne lui restait qu'une petit colline à monté, avant de voir sa maison.

Il entendit une voix féminine, à l'autre bout de la colline. Il eût un grand sourire.

*Maman, j'arrive*

Et il courru le plus vite possible. Quand il arriva, il était exténué. Il releva la tête pour voir de quoi était venu sa maison. Son sourire s'effaça très rapidement. Il faillit pleurer en voyant sa maison. Ou plutôt, ce qu'elle était devenue.

Rien! Il n'avait pu rien qui aurait pu prouver qu'il avait habiter ici. C'était un champ de terre battue où qu'il n'avait que quelques bouts de bois.

Mais il avait bien entendu une voix féminine. Il était sûr de ne pas avoir halluciné. Il regarda partout, mais rien. Alors qu'il allait retourner au palais, il vit une femme sortir des bouts de bois.

-MAMAN? Dit-il surpris.

La femme le dévisagea au complet, du haut jusqu'au bas. En l'a regardant bien, il reconnut que ce n'était pas sa mère, mais il savait qu'elle savait ce qui s'était passé.

-Savez-vous ce qu'est devenue cette maison qui habitait ici et cette femme, aussi, dit-il d'un ton doux.

La femme lui acquiesa de la tête et lui expliqua que la maison et la femme qui se trouvait dedans a été détruire par les forces du mal. Tout juste après que son fils avait été enlevé. Mais ce qui fit le plus mal à Sonunka était cette phrase:

-Elle aurait pu survivre, si son fils était resté avec elle.

Sur ce, il partit au royaume, les larmes aux yeux. Il ne voulait pu en entendre parler pour de bon.

Lorsqu'ils arrivèrent à terre, elle s'envola dans les airs, prit une grande inspiration d'air frais, et redescendit vers Gerudo. En passant devant lui, elle ne s'arrèta pas, mais elle continua sa trajectoire vers le sol. Les herbes arrivaient environ aux épaules de Gerudo alors elle n'eut aucun mal à se cacher.

Après quelques minutes de vol à haute vitesse depuis sa maison, Gerudo se déposa doucement au milieu du champ, Ailbie sur les épaules. Doucement, il fit descendre la fée sur son avant-bras.

-C'est un très bel endroit, approuva-t-il.

Cachée non loin de lui, elle lança d'une petite voix espiègle:
- Si tu m'attrape, tu pourras m'embrasser et je t'obéïrai pour toute la soirée... Mais, si tu ne réussis pas à cause de ma vitesse... JE t'embrasserai, et TU m'obéïras pour toute la soirée... Ça te vas?

Pour toute réponse le demi-elfe répondit:

-C'est parti!

Et il s'éleva d'un coup dans les airs, fouillant le périmètre pour retrouver l'esprit d'Ailbie.

Se doutant de ce qu'il allait faire, elle attendit qu'il fonce sur elle pour s'éloigner à toute vitesse entre les herbes...
( Je dois partir, je vais revenir peut-être demain, mais si je manque de temps, ce sera seulement pour lundi car je vais en camping. On finira ça un autre jour...)

Alors qu'il s'élançait, Gerudo vit Ailbie dans les herbes alors qu'elle se sauvait. Il se propulsa à une vitesse vertigineuse, et se mit à ratrapper la fée, malgré tous les virages à pic de celle ci pour lui échapper.

(Par exemple, là il faut que je partes pour le moment. Je reviens demain matin sans faute pour 8:30 maximum. À demain!)

*Wow, il est vraiment rapide* pensa-t-elle en s'efforçant de le semer. Mais en vain, elle voyait bien qu'il la rattrappait... Alors elle s'arrêta brusquement pour se déposer dans ses mains en regardant son air surpris.
- Alors, que dois-je faire?, dit-elle en lui souriant innocement.

(Regarde mon message qui est juste avant celui que tu as écrit, toute mes explications y sont. Bye bye!)

En se remettant de sa surprise, Gerudo finit par sourire.

-On pourrais presque dire que c'est toi qui m'as eu...

Puis, il se retrourna, et après avoir soigneusement placé une nouvelle fois Ailbie à la base de son cou, il se lança à la recherche d'un emplacement tranquille dans le champs.

Elle se laissa emmener dans un coin non loin de là où le champ était moins dense, ce qui leur laissait de la place pour... s'étendre, mais les herbes était toutes aussi hautes qu'avant, ce qui devait les cacher des curieux. Elle aimait bien être dominé, c'est pour cette raison que ça ne lui dérangeait pas du tout de le laisser faire. De plus, elle savait qu'il serait doux et qu'elle ne courait aucun danger, elle se sentait en sécurité avec lui.

Une fois arrêté, Gerudo s'assit sur le sol, puis plaça Ailbie sur son épaule. Il commença à frotter une partie de sa joue contre la sienne.

Après cette caresse, elle se coucha sur le ventre près de son visage et l'embrassa avec passion. Puis, elle lui dit tout bas en souriant:
- Oups, ce devait être toi qui commande... je suis vilaine...

-Oh ce n'est pas moi qui vais te punir pour ça..., dit le demi-elfe dans un demi-sourire.

- Tu en es sûr? C'est toi qui a gagné après tout... Même si je t'ai un peu aidé (rire)... Mais, ça ne me déplaie pas de servir l'homme que j'aime, Maître.
Elle eut un fou rire en disant cela. Elle voulait qu'il lui dise quoi faire ou alors qu'il fasse quelque chose qu'il veut, mais ce ne doit pas être elle qui commence.

-Eh bien, dans ce cas...,dit-il en l'attirant à lui.

Il posa ses lèvres sur celles d'Ailbie, et l'embrassa passionément, mais en faisant, comme toujours, bien attention à ne pas la brusquer de quelqeu façon que ce soit.

Elle se laissa embrasser en se demandant quelle était l'étape suivante de ce jeu d'amour amusant. *Je ne me sens pas brusquer, ne t'inquiète pas* pensa-t-elle pour le soulagé.

-Tant mieux, répondit-il. Tout en l'embrassant, il recommença à lui carresser la joue du bout du doigt.

Puis, lentement, passionnément, et tendrement, ils fusionnèrent entre leurs corps et leurs âmes... Puis finirent par s'endormir pour se réveiller le lendemain matin, à l'aube, autant par la lumière que par la brise matinale.

Lorsqu'il se réveilla, Gerudo regarda autour de lui. Il vit Ailbie qui dormait toujours sur sa poitrine. Il lui donna un baiser sur le front et s'étendit de nouveau en attendant qu'elle se réveille.

Lorsqu'elle se réveilla à son tour, elle était dans ses bras, couchée sur lui. Elle se souvint alors de sa belle soirée d'hier et battit des yeux pour s'assurer qu'elle ne rêvait pas. Il était déjà réveillé. Elle battit des ailes pour se dégourdir et s'envola pas très haut pour prendre une grande respiration. En redescendant, elle vit qu'il s'était assit. Elle vola près de lui, le regarda et dit:
- Bonjour, mon coeur. Si on allait déjeuner chez moi?

-Avec plaisir, dit-il en se levant. Il se dégourdit les jambes un instant, puis s'éleva à son tour dans les airs.

-Je te suis.

Elle vola un moment pas très rapidement puis commença à accélérer en s'assurant qu'il la suivait bien.
(suite au palais d'enetari)

(Suite à Palais d'Enetari et d'aide en amour sur Enetari)

C`est alors qu`arrivèrent Saraka et Sonunka ainsi que Sarita à Elenwë
,Saraka ce retourna vers Sonunka et lui dit:

-Tu sais j`ai eu peur de te perdre,je t`aime tellement.

Elle l`enlaça de ces bras et l`embrassa tendrement dans le cou.Et elle attendit sa réponse.