[Jeu 06] Histoire Collective

Vu le "succès" (bon c'était pas fameux lol mais quand même...) de la première histoire, Helloyina a relancé une nouvelle histoire. Interresé par la première ? La voici !

Il était une fois dans une contée lointaine un petit garçon nommé Nicolas. Il riait tout le temps des malheurs des autres mais n'aimait pas que nous rions des siens. Un jour, une jeune fille lui dit "Vaut mieux en rire qu'en pleurer".

Nicolas n'en fit rien et continua de rire jusqu'au jour où il tomba sur une plaque de verglas au beau milieu de la cours de l'école. Il avait envie de pleurer très fort et tout le monde riait autour de lui. Il comprit alors, que ça n'était pas drôle de se moquer des malheurs des autres mais comme il était très têtu et très fier, il n'admit pas qu'il avait tord, il se releva et alors qu'il riait aux larmes un garçon s'approcha de lui dit :

- Tu riais des autres lorsque ça leur arrivait et maintenant c'est à ton tour de subir le même sort.

Nicolas se fâcha et parti plus loin dans le coin ombré de la cour. Il voulait partir au loin puis il reprit son esprit et alla prendre tête au grand garcon qui l'avait insulter et lui dit sa façon de pensée :

- Non mais! De quoi tu te moques! J'exige des excuses immédiatement sinon... sinon... Je vais te massacrer!

Nicolas était rouge de colère alors qu'il sortait les mots de sa bouche en feu. Le grand le regarda et lui dit :

- Toi me massacrer? (rires) Personne ne peut me vaincre et toi tu me menaces de me massacrer, le grand garçon continua, c'est moi qui vais te massacrer, ouais!!!

Il se rua sur lui, et le plaqua sur le béton de la cour.
Nicolas avait mal et senti qu'il allait pleurer. Rien ni personne ne pouvait arrêter le geste du grand garçon.

Nicolas sentait ses forces le quitter. Il avait beau essayer de repousser le grand gars, mais rien n'y faisait. Des larmes coulèrent le long de ses joues alors que tous se moquaient encore et encore de lui. On allait se souvenir longtemps de cette journée, ça c'est sûr!
Le grand gars leva le poigt pour l'abattre sur la figure mouillée de Nicolas avec un grand rire quand soudain une main ferme emprisonna le poing du grand garçon. Il essaya de le retirer, mais sans succès. Surpris et en colère, il se tourna vers l'inconnu.

C'était un homme d'assez grande taille, aux cheveux blonds cendrés longs jusqu'aux épaules, ses yeux sont bleus vifs, mais doux... L'homme blond dit au grand gars :

- On ne doit jamais s'attaquer aux plus faibles, aux femmes, au plus jeunes, aux plus petits, aux mineurs, aux aînés, à nos supérieurs, à ceux qui ont des lunettes ou à notre famille. Compris, petit?

Puis, il aida Nicolas à se relever en lui souriant :

- Comment te sens-tu, mon gars?
- Je me sens bien... Merci monsieur d'être venu à mon aide, dit Nicolas à l'homme qui était devant lui.

Nicolas se promis ensuite de ne plus deranger les grandes personnes comme cette brute.

Merci aux personnes qui ont participé (en parenthèses, le nombre de mots qu'ils ont fait pour le texte ^^ ! ) : Emma {58}, Meth {82}, Caladriana {89}, Kosshp {32}, Sophia {162}, Astyan {34}, Urylë {52} et Daiephir {24}

Bravo à Sophia pour sa participation au jeu!

Voici la nouvelle histoire en condensé :

Il était une fois une jeune licorne qui gambadait dans un pré. Tout près se trouvait sa mère qui était d'une beauté sublime. Tout les chasseurs qui avaient entendu parler d'elle essayèrent de la capturer sans relâche pendant des années. Rien ni fit. Les braconniers abandonnèrent leurs fusils et leurs arc-à-flèches. La magnifique licorne était dotée de tels pouvoirs, que les chasseurs eurent vite raison d'elle.

Alors libérée des menaces des braconniers, celle-ci pu mettre au monde une petite licorne qu'elle appela Firihanney. Mais soudain, alors que la licorne s'occupait de son bébé, un chasseur apparut, un arc à flèche à la main. C'était le seul qui n'avait pas abandonné la chasse de la magnifique licorne. Étant en danger, Firihanney poussa un hennisement aigu pour avertir sa mère. Celle-ci se redressa et lança un regard vers le chasseur. L'homme fut happé par le regard de la licorne, autant meurtrier que magnifique. Il hésita, arc bandé, flèche tremblotante entre ses mains...Le regard de la licorne semblait lire en lui ses plus profonds secrets. Mue par une irrésistible force, il s'accroupit, déposa son arc, ses flèches, son sac et se dénuda.

Il avança ensuite vers la magnifique licorne et s'arrêta. ''Jamais elle ne me laissera l'approcher, surtout avec sa petite à côté d'elle'', pensa-t-il. L'animal sembla le comprendre car, effectivement, elle se mit devant Firihanney. La pouliche, intriguée par l'humain, même si celui-ci l'avait menacé de sa flèche tout à l'heure, sentit une terrible envie de s'approcher de lui, de le sentir, de le toucher.

''Aucune chance de venir vers elle'', se dit le chasseur. Il avait abandonné toute idée de la tuée, sentant qu'elle avait le droit de vivre et d'élever sa progéniture.

Mais, entre les arbres se tenait le fils du chasseur. Intrigué par l'attitude de son père, il l'avait suivi jusque dans la clairière où il se tenait présentement, aux cotés de la licorne et de son bébé.

Pensant déjà avec fierté à tout l'honneur qu'il aurait s'il rapportait une corne de licorne, il pris son arc, encocha sa flèche, banda la corde et la détendit.

Le trait partie vers la licorne et lui toucha le dos. Dans un henissement de douleur, elle tomba mais remonta pour voir son attaque c'est alors qu'elle vit l'humain nu accourir vers elle. Elle henissa de douleur et de panique, voulant se relever pour protéger son enfant, elle en dépendait bien plus que sa propre vie. L'humain approchait lentement quand une deuxième flèche s'encra dans la peau couleur ivoire de son abdomen. Elle poussa un long cri de douleur, sentit Firhanney dans son dos s'éloigner, horrifiée par cette vision.

La licorne voulut se relever mais elle temblait sur ses pattes, elle ne pouvait plus marcher et déjà, du sang argent couvrait l'herbe...

L'humain, dégoûté de ce spectacle, se retourna, colérique, voulant connaître l'identité de son agresseur , mais il ne vit qu'une ombre partir en courant à travers les arbres.

Il pensait à partir à sa poursuite quand un halètement lui fit tourner la tête vers la mère licorne et son petit. Puisant dans ses dernières forces, la mère licorne poussa Firihanney vers le chasseur nu et rendit l`âme.

L'homme fit une sépulture pour la pauvre licorne et il s'apprêtait à partir quand Firihanney vint se coller sur sa jembe, lui rappelant sa présence. Firihanney se sentait en confiance avec le chasseur. Elle avait perdu sa mère, mais celle-ci l'avait confiée au soin du chasseur.

Alors que l'homme se rhabillait, il entendis plusieurs cris graves, ressemblant à des appels et des branches se craquer. Plusieurs personnes venaient dans sa direction.

-Hey Gildwin! Mais qu'est-ce que c'était ce boucan? Dit une voix.

-Penses-tu qu'il l'a attrapé? Répondit une autre.

-La licorne? Tu crois que...Fit la première voix.

Les deux amis du chasseurs découvrirent Gildwin, du sang argenté sur ses mains, ses vêtements tout aussi tâchés, un air mélangeant tristesse et colère. Derrière lui, ils voyaient la sépulture de pierres se dresser telle une petite colline, et une jeune pouliche, qui essayait de se cacher derrière son protecteur attitré par sa mère.

-Par tous les dieux, que s'est-il passé? Demande le plus vieux des deux hommes...

-Par tous les dieux, que s'est-il passé? Demande le plus vieux des deux hommes en ouvrant de grands yeux ronds.

-Rien... Il ne s'est rien passé... Répondit Gildwin, le regard triste.

-Non mais je rêve, fit le plus jeune, tu as tué la licorne! Tu as pris sa corne au moins?

Le silence répondant à sa question, il se mit à jurer et à marcher de long en large.

Gildwin continua à préparer son sac et son arc, car il rentrait chez lui. Soudain, le jeune chasseur, Myrrdin, fonça vers le tas de roche où était ensevelie la licorne il declara que c'était lui qui avait tué la licorne. Personne ne le cru, comment un gamin d'à peine 18 ans aurait pu tuer une licorne que même les chasseurs les plus expérimentés ont été incapable de tuer ? Mais le jeune chasseur, dans le plus fort de sa folie, se voyait déjà arriver au village, triomphant, la carcasse de la licorne sur le dos. Il continua donc à enlever les pierres jusqu'à ce que les deux hommes viennent le retenir.

-Va, Myrrdin! Rentre chez toi! Dit le chasseur qui l'avait accompagné jusqu'ici.

-Et toi aussi, Gildwin! Rentre chez toi et ne reparle plus à personne de cet évènement! Ajouta le vieil homme.

-Je ne pars pas sans cette petite licorne, sa mère compte sur moi! Objecta Gildwin.

Le chasseur le regarda dans les yeux et il vit de l'incompréhension.

-Que comptes-tu faire avec cette pouliche? Demanda le vieil homme, Maelwys. Il détourna ses yeux de Gildwin pour crier au jeune garçon:

-Calme-toi! Abandonne cette idée Myrrdin, la plèbe n'est pas idiote!

-Lâche-moi vieux fou! Tu ne t'en rends pas compte, tout cet or que je gagnerai? Il lui reste encore du sang, et sa corne! Gildwin et Maelwys avaient de plus en plus de mal à retenir le garçon.

Pourtant, le chasseur ne pensait plus qu'à la pouliche qui se tenait tout près de lui.

Puis, d'un coup d'épaule, Myrrdin se libéra des deux hommes et couru à l'orée de la clairière.

-Enfin la raison reprend le dessus! Lui cria Maelwys.

-Tu ne m'empêcheras pas d'accéder à la gloire! Tu veux cette licorne pour toi n'est-ce pas? Jamais... JAMAIS! La licorne est à moi! L'honneur est pour moi! La richesse m'appartiendra!

Myrrdin éclata alors d'un rire affreux, démoniaque. Il tournait le dos au deux chasseurs et lorsqu'il se retourna, chacun d'eux vit avec horreur le carreau dans l'arbalète prête à tirer du jeune fou. Le trait parti et Maelwys tomba. Gildwin, horrifié, se précipita vers le vieil homme qui poussa un hurlement de douleur. Il regarda Myrrdin mettre une autre flèche dans son arbalète, pour cette fois tirer sur la pouliche, qui se tenait près de la sépulture de sa mère, incapable de faire le moindre geste.

-NON! Myrrdin! Es-tu - Cours! Cria-t-il en dernier à Firhanney, espérant que la pouliche s'enfuirait. Les râles de Maelwys résonnaient toujours à côté de lui. Il voulut se relever mais le jeune homme, complètement aveuglé par l'idée de la gloire qu'il se voyait déjà offrir, un sourire sardonique sur les lèvres, décocha la flèche.

*NON!* Pensa, terrifié, Gildwin.

Mais, soudain, quelque chose d'incroyable se produit, la pouliche disparut. Le trait était fiché dans la terre à l'endroit exact où Firihanney se tenait encore il y a un moment. Puis elle réapparu près de Maelwys et avec ses dents, arracha la flèche du corps du vieil homme.

Tout ceci s'était passé en si peu de temps que personne n'avait pu faire un mouvement, mais Gildwin fut tout de même le premier à réagir. Il courut et sauta sur Myrrdin, l'immobilisant sous son poids. Il prit une corde qu'il avait dans son sac et ligota le jeune homme.

-Ainsi tu ne feras plus de mal à personne... Pour l'instant... Expliqua-t-il.

Puis il se rappela Maelwys, mourant. Il se rendit donc auprès de lui et vit Firihanney faire tomber une de ses larmes dans la blessure. Bien sûr, tout le monde sait que d'une larme de licorne pour que la mort s'enfuit et que la vie réintègre un corps blessé. La plaie se cicatrisa, laissa qu'un trou et du sang sur la chemise du vieil homme. Son visage perdit toute trace de douleur, il cessa de gémir et soupira:

-Par tous les dieux, par tous les dieux...Le coeur de Gildwin battait fort dans sa poitrine. Maelwys avait été l'un des premiers à le réconforter et à le prendre sous son aile quand sa mère et sa soeur étaient mortes de maladie, il y a une dizaine d'années. Il aurait été peiné de l'enterrer.

-Tout va bien? Fit-il à l'adresse du vieil homme. Celui-ci se remit debout avec son aide.

-Oui, tout va bien mais...

-DÉTÂCHEZ-MOI! DÉTÂCHEZ-MOI SALES TRAÎTRES! Les deux hommes jetèrent un regard vers Myrrdin, qui à terre, se débatait et leur criait des injures plus venimeuses les unes que les autres. Ils ne surent pas quoi faire mais tous deux furent surpris quand ils virent Firhanney s'approcher du jeune homme.

Gildwin fit un pas en avant mais Maelwys l'arrêta brusquement.

-Non, laissons-la pour voir ce qu'elle va faire, de toute façon il est ligoté; il ne peut pas lui faire de mal.

Firihanney s'approcha donc du jeune homme et plongea son regard dans le sien. Immédiatement, il cessa de crier et même de bouger. Il semblait hypnotisé par le regard de Firihanney.

-Mais que se passe-t-il? Par tous les dieux... Souffla Gildwin. Qu'est-ce qu'elle lui fait...?

Puis soudain, la petite pouliche détourna le regard et s'en vint en trottant vers Gildwin et Maelwys, la démarche hautaine. C'est alors que ça se produisit. Myrrdin n'avait pas recommencer à crier, il tremblait... de peur! Il semblait terrorisé par la pouliche, par sa seule vue il commençait à gemir de l'emmener loin d'elle. Gildwin devina que la petite licorne lui avait transmi une parole mentale et que cette chose devait être bien terrible pour que Myrrdin agisse de cette façon. Il regarda la pouliche qui s'approcha de lui et secoua vigoureusement sa tête en laissant échapper un petit hennisement joyeux. Aussitôt, Gildwin retrouva le sourire, il ne voulait pas savoir ce que Firhanney avait dit au jeune homme.

Maelwys s'approcha d'elle et en se courbant respectueusement, proclama:

-Merci d'avoir sauvé ma pauvre vie, petite licorne. Toutes mes excuses pour ta mère, nous ne savons pas qui être son meurtrier, mais nous trouverons un jour, je te le promets...

Gildwin fut ému par les paroles sincères du vieil homme et regarda la pouliche, ses yeux d'un bleu incroyable se voilèrent et elle s'approcha de Maelwys pour à son tour faire une petite révérence.

-Cet animal est très intelligent, bien plus que les chiens que j'ai dressé! Sourit le vieillard. Que comptes-tu faire d'elle? Tu vas l'ammener au villa -

-Non! Pas au village! Non! Je ne la veux pas proche de moi! Gémit Myrrdin. Le chasseur regarda le jeune homme et eut pitié de lui. Il regarda ensuite Firhanney qui trotta vers lui et frotta son museau contre son bras. Gildwin la caressa doucement, souriant.

*Que vais-je faire de toi, petite?* Pensa-t-il en songeant au peu de possibilités qu'il avait.

Au bout de quelque temps, il prit sa décision, se tourna vers Myrrdin et dit, comme se parlant à lui-même :

-Nous repartons tous les quatres au village.

Myrrdin gémit et commença à pleurnicher :

-Non.. Non... Non!

Mais Gildwin continua tout de même:

-Je garderais la pouliche avec moi, Vaellys, ma femme, saura s'occuper d'elle. On ne peut la laisser ici sans sa mère. Et quant à toi, tu seras juger pour ton acte odieux! Dit-il en se retournant vers Myrrdin.

Puis ils partirent tous vers le village, Maelwys menait la marche, suivit de Myrrdin, de Firihanney et finalement, Gildwin fermait la marche. La seule présence de Firihanney derrière Myrrdin faisait courir celui-ci comme un fou.

-Mais calme-toi un peu! Dit Maelwys, se faisant bousculer par Myrrdin qui voulait le dépasser sur le petit sentier menant au village. Tu restes derrière moi, je veux avoir un oeil sur toi, tu as assez fait de bêtises aujourd'hui!

Myrrdin envoya un regard courroucé au vieillard mais il croisa celui de Firhanney qui le regardait méchamment. Il déglutit, revint sur ses pas et fit tout le chemin jusqu'au village en silence et la tête baissée.

Ils arrivèrent au village qui était calme à cette heure. Gildwin remercia les dieux, il pourrait ramener la pouliche s'en être vu. Mais, un jeune homme en train de manger une pomme, qui les attendait évidemment accôté contre une bâtisse, sortit de l'ombre.

-Bonjour père! C'était le fils de Gildwin, Gwendal. Il les avait attendu toute la matinée, voulant qu'il soit là quand il annoncerait à toute la communauté qu'il avait tué la licorne si facilement alors que son père, le plus brave chasseur du village, avait hésité et s'était livré à elle comme si elle était une déesse, comme une simple larve. Cependant, il fut surpris quand il vit la pouliche trotté devant lui. Puis, Myrrdin, son meilleur ami, courut vers lui tandis que Maelwys lui cria quelque chose.

-Gwen! Gwen, ne t'approche pas de cette créature, elle est maléfique, elle te fait entendre des choses dans la tête...Des choses horribles! Myrrdin tremblait. Jamais le fils de Gildwin ne l'avait vu dans cet état.

-C'est la progéniture de la licorne? Fit doucement Gwendal.

-O-oui, elle a enfanté un monstre!

-Ého fils! Appela Gildwin. Va me chercher ta mère, et toi Myrrdin, tu seras jugé ce soir pour avoir profané la tombe de cette licorne. Maelwys, ajouta-t-il en se retournant vers le concerné, va prévenir Bleiz, le chef du village. Nous aurons besoin de son jugement pour ce garçon...

Nous aurons besoin de son jugement pour ce garçon immorale.

Le soir venu, le conseil du village se réuni et les sept membres, dont Bleiz, écoutèrent les péripéties des trois hommes. Ils leur racontèrent tout exepté la blessure et la soudaine guérison de Maelwys.

*Son jugement sera minime si on ne leur dit pas qu'il a blessé un villageois, mais je ne veux pas risquer de perdre Firihanney.* Pensa Gildwin.

Celui-ci avait très rapidement trouver un nom à la petite licorne. Il semblait que ce nom lui seyait extrêmement bien et il se demanda même si ce n'était pas la pouliche elle-même qui le lui avait révélé.

*Avec les pouvoirs dont elle a fait preuve avec Myrrdin, plus rien ne m'étonne d'elle!* Se dit-il à lui-même.

Quand vint le temps au fautif de se défendre, tous le prirent pour un fou. Il disait que l'argent et l'honneur de la licorne lui revenait de droit et que ce petit monstre qu'elle avait engendré était la réincarnation du démon.

-Assez! Cria Beldin, le premier Ancien du conseil. Tu délires, mon pauvre Myrrdin! Profaner la tombe d'une licorne est un sacrilège! Cela t'a sûrement rendu fou car tous tes propos sont incohérents! Je demande donc au conseil d'arrêter la plaidoirie et de donner son verdict imméidatement!

Le conseil passa donc au vote, mais il ne réussirent point à trouver un châtiment qui conviendrait au jeune homme. C'est alors que Maelwys se leva et demanda la parole au conseil.

-Parle Maelwys, Dit Bleiz, tu es sage et nous t'écouterons.

-Je propose un châtiment exemplaire pour le jeune homme. Commença Maelwys. Il devra rester dans la clairière où la licorne a été tué et enterré pour veiller sur sa tombe, jusqu'à la fin de ses jours!

Le conseil prit alors quelques instants pour réfléchir à cette proposition et...

Le conseil prit alors quelques instants pour réfléchir à cette proposition et, un des anciens alla chuchoter à l'oreille de Bleiz. Celui-ci hocha discrètement de la tête et regarda Myrrdin, qui alla foudroyer d'un simple regard Maelwys.

-Myrrdin Jorhant Wenn, tu es condamné à la sentence que Maelwys Fanch Nog' a prononcé en ces lieux. Tu devras prendre dès aujourd'hui route vers la clairière et habité là où la folie t'a prise. Jamais tu ne quitteras cette endroit, sauf si une urgence se présente et que tu dois aller au village. Mais tu ne dois passer aucune nuit dorénavant ici. Le conseil est levé.

Myrrdin bouillonnait de rage, c'était si injuse! Ils ne le comprenaient pas ; elle était morte, il avait le droit de faire ce qu'il en voulait! Myrrdin alla vers Gwendal, toujours aussi calme, qui l'attendait.

-C'est tellement injuste! Grogna-t-il pour ne pas que les autres l'entendent. Je n'ai rien fait de mal, c'est cette licorne de malheur! Je la tuerai un bon jour, oui, je la tuerai! Et ce vieux fou, je le tuerai moi aussi!

Gwendal observait silencieusement son ami dans sa colère, et eut un sourire. Il l'arrêta alors, et Myrrdin hurla:

-Quoi?! Le fils de Gildwin le regarda droit dans les yeux et chuchota:

-Calme-toi mon ami, je te jure, le jour de ta vengeance sonnera bientôt.

Petit à petit, les commisures des lèvres de Myrrdin s'élargirent pour faire un sourire diabolique...

Petit à petit, les commisures des lèvres de Myrrdin s'élargirent pour faire un sourire diabolique et il courut comme un démené jusque chez lui pour prendre ses affaires.

Quelques minutes plus tard, il était partit pour la clairière à la tombe. Gwendal lui rentra à la maison familiale ainsi que son père, Gildwin, et l'invité de ce soir, Maelwys.

Gildwin était surpris de la réactionde son fils. Lui qui était habituellement si prompt à réagir n'avait piper mot pendant tout le temps du conseil alors que son meilleur ami, celui qu'il considérait comme un frère, subissait son interrogatoire.

Tout cela lui avait mis la puce à l'oreille mais il s'efforça de ne pas y voir de mauvais présage, prétendant que son fils devenait enfin un homme correct et capable de se contrôler. En fait il se mentait à lui-même, mais ce ne fut pas la seule fois qu'il fit taire son instinct.

Arrivé à leur demeure, Gwendal ne s'étonna même pas de la présence de Firihanney et la cajola tout au long de la soirée.

*Lui qui n'aime pas les animaux...* Pensa Gildwin.

Le souper se passa bien et quand Gildwin annonça à toute la famille qu'une chasse était organisé, tous se réjouirent. Il attendit pourtant pour dire à Gwendal qu'il ne viendrait pas avec les hommes.

*Pas de coups d'éclat alors que nous avons un invité.* S'intima-t-il.

Mais quand Maelwys partit pour son foyer, Gildwin avertit son fils qu'il ne pourrait participer à cette chasse. Contrairement à ce qu'il pensait, le fils n'en fit pas cas et lui dit même:

-J'irais sûrement à la prochaine!

*Il est vraiment devenu plus mature...* Pensa encore Gildwin, mais quelque chose clochait dans ce comportement trop parfait. Où était l'impétuosité et la détermination de la jeunesse?

Toutefois, Gildwin partit à la chasse le lendemain matin...

heu.....le lendemain..heu...IL se réveilla!...

En se reveillant , il prit les matériels necessaires pour chasser puis s'appretait à chasser .
En marchant , il essayait de chercher une prois , pour faire du bon gibier , et quand il trouva un cerf , il prit son sac et l'ouvra .
* Oh mon dieu ! J'ai oublié de prendre mon fusil *
Il chercha et chercha et ne trouva rien : il avait effectivement perdu son arme ......et il dit tout en s'énérvant :
" Pas d'arme !! Pas de gibier !!! "

BRAVO!!!!il allas prendre son arme et retournas vers le cerf

Il visa le cerf et le tua , puis le pris pour faire du gibier .
Il avait maintenant le festin qu'il dégustera le soir avec sa famille .

[Euh...Avez-vous lu l'histoire? C'était supposé être une grande chasse, donc, quelques hommes étaient invités ainsi il y aurait une grande fête le soir...Mais bon.]

Gildwin rentra donc vainqueur de sa chasse et donna les gros morceaux de viande qu'il avait enroulés dans de grandes feuilles aromatiques qui gardaient la fraîcheur à deux femmes du village qui vinrent à sa rencontre. Il proposa à d'autres hommes de venir avec lui dans la forêt, il avait entrevu entre les arbres deux gros sangliers mais n'avaient pas oser les tuer à lui seul. Les villageois concernés acceptèrent avec joie et se dirigèrent vers la forêt, Gildwin en tête.

Pendant ce temps, Maelwys discutait avec Vaellys, la femme de Gildwin, ainsi que Gwendal, même si celui-ci ne faisait que l'écouter d'une oreille.

-...avais vu! Répétait le vieillard avec entrain. Si tu avais vu le cerf que nous avions tué, ton bon mari et moi, tu en serais tombé par terre! Il était si énorme, si imposant que même le plus féroce des prédateurs ne l'auraient jamais mis à terre.

Vaellys, en train de coudre, regardait parfois Maelwys avec un franc sourire amusé sur les lèvres. Soudain, Gwendal se leva, frappa rageusement du pied, et s'enfuit en courant par la porte. Les deux adultes, se regardèrent, puis Vaellys mumura:

-Je le savais bien...Il est allé à la chasse! Alors que son père lui en a interdit! Oh par tous les Dieux! Si Gildwin le voit...

-Ne t'en fais pas, je retrouverai ton fils et je le ramènerai de pied ferme! Je me fais peut-être vieux, mais je sers encore à quelque chose! La femme eut un doux sourire et c'est en prenant son manteau de fourrure épaisse que Maelwys sortit de la maison...

( lol sincérement jtrouve cet histoire trop naz )

T'as juste à la rendre intéressante! Franchement Yaone! Tu mets un autre personnage et voilà!

Et puis, le respect, tu connais? Franchement les nouveaux, vous ne semblez pas être très sympas!

( si chui sympa mai c toi ki n'est pa accueillant )

Désolé Yaone si je t'ai blessée mais je ne t'ai jamais traité de naze ou quoi que ce soit. J'accueille à bras ouverts tous ceux qui sont gentils avec moi, et c'est vrai. Mais traitez qu'une chose d'une personne est naze, je ne trouve pas ça très respectueux et je ne crois pas que ça vaut l'accueil de l'autre personne.

Si tu n'aimes pas cette histoire, tu n'as qu'à t'en aller ou à la continuer et à la mettre à ton goût. Mais ne dis pas ce genre de commentaire, il pourrait être très mal prit et pourrait blesser la personne visée.

Voilà.

( Bon je vais employer les grands moyens : Je trouve cet histoire superbe , une belle histoire qui ma beaucoup touché et qui m'a fait pleuré et toi tu es splendide : ca te va )

Bon...Si tu n'es pas capable de me prendre au sérieux et d'être sérieuse, moi je ne te réponds plus car on est en train de faire un flood.

du calme,du calme on oublit tout sa *REGARDEZ DANS MES YEUX*


la on vas dire que je vous ai fait tout oublié!!!!

( Mele toi de ce qui te regarde , en tout cas je commence : )

Par un beau jour d'été ensoleillé , une petite fille nommée Melvina était accompagné par son grand frère à la plage . Elle était trés contente de sentir le bruit des vagues et de regarder les albatros voler dans les airs . Elle sentait la brise qui lui carressait le visage et se réjouissait de ce joli évènement .

Quand un peu plus loin , la petite fille vit un homme , agé d'une quarantaine qui était à demi conscient et tout mouillé . Ayant peur , elle cria trés fort à l'appel de son frére .

" Grand frère !!! Grand frère !!! Viens voir , il est pas bien !!! "

Son frère qui ne supprotait pas les pleurs de sa petite soeur le rejoignit et s'accroupit en faisant tourner le corps de ce vieil homme afin de voir son visage . Puis il tentait de le reveiller en lui faisant un massage cardiaque .

Quelques minutes plus tard , l'homme se reveilla et se trouvait être étonné d'être allongé dans un lit et il se dit :

" Ou suis je ? Comme ai je pu atterir dans cet endroit ? "

Le jeune homme vint avec un plateau garni de bonne nouriture et le posa sur le chevet de la petite table en lui disant :

" Tu es en sécurité car tu es dans ma cabane : il n'y a que moi et ma petite soeur que nous vivions ici et nous vous avons trouvé en mauvais état .... "

heu....


-d'accord!

J'ai terminer a quel qu'un d'autre!lol

( looool tu me fait marrer XD )

(heu... c'est quelle histoire que l'on doit continuer?)

Le vieil homme toussa bruyemment et se releva avec peine. Il les toisa tous les deux de haut en bas.

"Je vous remercie sincèrement de m'avoir aidé chers enfants. Simplement..."

Il toussa encore et parut encore plus abattu.

"Elle était là! devant moi! ses cheveux longs et clairs, son charme..."

Il avait l'air un peu fou, les yeux dans le vide.
Melvina était mal à l'aise, elle ne comprenait pas. Son frère, qui s'appelait Nicolas, avait sa petite idée...

"Vous voulez parler des sirènes monsieur? Des femmes-poissons?"

Le vieux ne l'écouta même pas, il continua de divaguer, parlant de plus en plus fort.

"Oui, je l'ai vue! je l'ai vu, les enfants, vous comprenez? Devant moi, belle et puissante! hooooo, j'ai voulu la rejoindre, mais les vagues... la tempêtes..."

Melvina eu peur et s'agrippa à son frère, qui n'était plus trop sûr de lui...

[ je crois ke ce jeu est mort parce que tout le monde n'a pas la tête a imaginer la suite ]