Histoires en vrac ["One-shots"]

Eh bien voilà, j'ai fait une petite histoire et j'aimerais avoir vos critiques.

Bien sûr, d'autres peuvent mettre leurs histoires: c'est pour tout le monde.

La flûte du diable


Ma mère m’avait toujours dit d’aller acheter une nouvelle flûte,mais je ne l’écoutais jamais et

je continuais avec ma vieille flûte que mon grand-père m’avait donnée .Et comme excuse pour ne pas avoir acheté la flûte je lui disait toujours que je n’avait pas le temps,que j’avais plus d’argent ou que j’avais trop de cours.

Un jour pourtant, j’ai suivi son conseil et j’allais chez un antiquaire m’en acheter une .Un jeune homme m’a accueillit, il me serra la main et je ne sais comment l’expliquer, une voix me dit son nom; Makel .Il m’a présenté plusieurs flûtes mais j’étais curieusement attiré par une flûte
en bambou et en or. Elle mesurait comme toutes les autres mais pourtant elle dégageait un je ne sais pas trop quoi qui m’attirait .Il y avait gravé dessus avec un fil d’or un petit texte d’une langue qui m’était inconnue.

Alors je lui demandais combien elle coûtait et il répondit tout à coup d’une voix plus méfiante un prix que je ne voudrait pas le dire pour les oreilles indiscrètes .J’eus vacillé en entendant le prix mais je payai quand même pour cette onéreuse flûte qui me fascinait tellement. Je sortis enfin de cette pièce ou l’air était étouffante. Mon portefeuille était maintenant plus léger qu’une plume ce qui me déplût énormément.

Rentré chez moi, je mis la flûte dans une boîte a chaussures dans le fond de mon placard pour oublier cette dépense fastueuse. Quelques jours plus tard, je décidai de jouer un petit morceau devant mes meilleurs amis de l’université pour, en même temps, m’en vanter.

Quand j’eu joué un petit air, mes amis étaient comme hypnotisés. Ils avaient les yeux grands ouverts et ne bougeaient pas d’un centimètre, ils étaient livides comme si ils avaient été malades.

Je leur avaient conseillé d’aller boire de l’eau pour se rafraîchir avant de retourner en cours car sinon ils auraient été renvoyés à cause de leurs états.

Alors, ils se sont tous retournés, en même temps, pour promptement obéir. Ils ressemblaient beaucoup à des zombies, cela me surpris beaucoup.


Plus tard, je leur fis écouter une ode de ma composition car pendant les cours j’avais fait

tourner cet épisode de la matinée et ça me dérangeait énormement, et fut encore surpris de les voire se comporter comme des zombies une nouvelle fois.

Lors du déjeuner, après cet épisode épique, et après avoir réfléchis non sans en oublier de réviser pour mon test dans l’heure suivante, je compris qu’après avoir joué de la flûte, les personnes qui m’avaient écouté m’obéissaient au doigt et à l’œil.

Le soir, en rentrant, j’eus un flash qui me fit tomber a terre que je mis en exécution le lendemain:

Ayant quelques mauvaises notes dans certains cours pour ne pas dire dans tous les cours,

je décida que le meilleur de ma classe ferait tous mes devoirs et tous mes tests à ma place.

Mais comme il ne voulait pas, et répugnant la violence, je lui fis entendre alors un petit air de ma flûte :
Il m’obéi de suite.

En quelques jours, toutes mes moyennes augmentaient en flèche, ce qui étonna beaucoup mes professeurs : ils en eurent même quelque soupçons.

Un jour pourtant, l’étudiant mourut dans son sommeil; la police diagnostiqua une mort mystérieuse.

Je n’étais pas très impressionné par sa mort, après tout, il y en avait qu’en même chaque année sur le campus; cependant, je restais perplexe.

Comme je ne voulais pas que mes notes rechutent, je du utiliser à nouveau le pouvoir

charmeur de ma flûte sur un autre étudiant .Mes notes restant exemplaires, je décida de faire la fête avec des amis pour fêter l’évènement.

Le lendemain, on découvrit celui qui faisait mes devoirs morts comme son prédécesseur, d’une mort tragique et mystérieuse. Je commençai à faire un rapport entre la cause de leurs morts et le pouvoir de ma flûte.

Quand je vis les parents des morts pleurer, je m’en repentis et pris la décision d’aller rendre la flûte chez l’antiquaire. J fus surpris et bouche bée de trouver à sa place un magasin de jouet électronique. Je fis une recherche et pas une trace dans les archives de la mairie non plus,
comme si j’avais rêvé, et pourtant la flûte était toujours là. Comme j’étais fatiqué, je retourna

chez moi, déposai la flûte dans sa boite et j’allai me coucher. On dit que la nuit porte conseille.

Le lendemain, je trouva la solution : je la coupa en trois morceaux égaux que j’envoya dans de différentes parties du monde : la Sibérie, le Sahara et la jungle amazonienne. Trois semaines plus tard, je reçus un courrier recommander me disant quatre mots :

TON AME M’APPARTIENT !

C'est très bien Kiram! ^.^

C'est aussi une très bonne idée! Je pense que je vais envoyer une de mes histoires d'ici peu...

Continue comme ça, c'est super! ^.-

Étrange fin, mais très bien Kiram! ^.^

Moi aussi je crois que je vais envoyer quelques ''one-shot'' d'ici peu.

Ciao!

Voici une petite histoire sans suite, que j'ai écrit l'année passée pour montrer mon désarroi à la solitude des personnes âgées. C'est un petit message que j'aimerais partagé avec vous. Les personnages âgées ne sont pas que des ''choses'' sur le point de mourir. Ce sont avant tout des humains qui ont besoin d'amour.

À ma grand-mère, dont je me suis jamais donné la peine de connaître. À mon grand-père, je suis tellement désolé...Pardonne-moi.



Ce matin, quand je me suis réveillée, je me sentais confuse. J’ai brossé mes cheveux bruns hâtivement car je me suis encore levée en retard. J’ai quitté la maison en disant au revoir à mes parents puis, j’ai marché vers l’école. Il faisait encore chaud pour le mois de septembre et le ciel était d’un bleu azur. Mon regard gris a été attiré par une grand-mère qui se berçait sur le balcon de sa jolie petite maison blanche. Elle avait le visage presque sans rides et ses cheveux blancs étaient coupés courts. J’étais intriguée, elle fixait un point inconnu et se balançait doucement. Elle dégageait le bonheur, elle semblait heureuse, toute seule, sur son balcon.

Ce matin, quand je me suis réveillée, je me sentais bien. J’ai dit rapidement bonjour à mes parents, puis, je suis sortie. La rencontre avec la vieille dame m’avait remonté le moral. Certes, je ne lui avais pas encore parlé mais elle savait que je connaissais son existence. Je suis passée devant sa modeste maison blanche, le vent de novembre faisait virevolter quelques mèches de mes cheveux. La grand-mère se berçait toujours, observant un point dans le ciel. Son visage était toujours joyeux sans pour autant sourire. Pour la première fois, j’ai remarqué ses lèvres bouger. Elle se parlait peut-être à elle-même? Qui sait, elle devait se sentir bien seule, sur son balcon.

Ce matin, quand je me suis réveillée, j’étais excitée; la veille de Noël, un paquet m’attendait devant ma porte. À l’intérieur, j’ai découvert des sucreries. Je savais que c’était la vieille dame qui me les avait envoyées. Je me suis sentie aimée et choyée. Quand je suis passée devant sa maison, la grand-mère se berçait toujours et elle murmurait. Ses petits yeux rieurs regardaient toujours le vide, attendant quelque chose sûrement. J’étais sûre que cette vieille femme connaissait un secret et qu’elle le partageait avec le vent de décembre car elle devait s’ennuyer, toute seule, sur son balcon.

Ce matin, quand je me suis réveillée, j’étais nerveuse. Aujourd’hui, j’allais enfin la rencontrer. Je suis partie, sans adresser un seul mot à mes parents, vers la petite maison blanche. Je l’ai retrouvé comme toutes les fois, sur son balcon. J’ai vu que c’était le vent qui la berçait cette fois et non elle. La vieille dame s’était habillée chaudement, car il faisait très froid. Pour la première fois, j’allais lui parler, partager son secret ?…Elle semblait si calme, s’harmonisant avec le décor lent de l’hiver. Puis, j’ai mis mes mains sur les siennes mais je les retirées aussitôt…Elles étaient gelées…Ses yeux étaient éteints, le vent ne la berçait plus mais me consolait, moi, car elle était morte…

Morte avant que je la connaisse, avant que je lui parle, avant que je la serre dans mes bras…

Elle partageait un secret avec le vent, oui…Elle le priait de souffler sur la flamme qui brûlait en elle car la vieille dame souffrait trop de solitude…

Mais au moins, quelqu’un se souviendrait d’elle…

*larme aux yeux* Je t'adore! Tu es mon écrivaine préférée!

Même si j'avais déjà lu ce "one-shot" là, j'ai été encore autant émue, si ce n'est plus!

Tu as du talent, ma chère! Je suis contente de t'avoir comme amie! *câlin à Lilith*! ^.^

*calins à Hydra*

Moi aussi je suis contente que tu aimes, mais encore plus que tu sois mon amie!

Vraiment émouvant Lilith. C'est trop beau. Et il est vrai que c'est malheureux que les personnes agés reste seul ainsi. Ils ont vu tand de chose qu'il pourraient nous apprendre mais que nous saurons jamais parce que l'on ne prend pas le temps de les écouté. Vraiment une magnifique composition.

Merci beaucoup Faela, ce que tu me dis me touche beaucoup!

J'ai écrit ça il y a deux ans, je crois bien, pendant une nuit blanche. Il n'y a pas vraiment de but...Et la fin est bien celle-là!



La femme attend. Elle enroule une mèche ambrée autour de son index, et le déroule, inlassablement. Elle prend dans sa paume un pendentif couleur argent et l’ouvre…Il est là, tout souriant, la regardant. La femme caresse l’image, heureuse, elle attend.

-Requiescat in pace…La femme aux cheveux d’ambre se retourne pour découvrir une jolie petite fille à la longue teigne noire, bouclée. Son visage est si beau, comme si elle était une poupée, mais il est si pâle, presque anormal…

-Qu’as-tu dit?

-Votre mari, qu’il repose en paix, répète-t-elle en s’approchant pour pointer le bijou dans sa paume, car il est mort n’est-ce pas? Je le sais, parce que votre visage ne serait pas si triste et joyeux en même temps.

-C’est vrai, répond-t-elle, que fais-tu ici? La petite fille noire regarde autour d’elle, ses yeux revenant sur l’horloge du hall.

-J’attend ma maman, elle doit venir me chercher ici, après, nous irons chez la bonbonnière, elle me l’a promit.

-J’en suis sûre…La femme rousse se sent mal à l’aise. Elle commence à regretter d’être venue ici…La fillette chantonne une chanson joyeuse, en se balançant sur ses petites chaussures noires qui reluient à la lumière des chandelles. La femme regarde l’horloge, il est huit heures passées. Puis, la surprenant encore, la petite fille demande :

-Que faisait votre mari? Avez-vous des enfants? La femme lui sourit, puis, répond :

-Il était journaliste, il écrivait des articles sur des phénomènes étranges... Non, je n’ai pas d’enfants…

-Dommage, je suis sûre que vous auriez fait une bonne mère. La femme rousse contractent ses sourcils, comme si un juron avait été prononcé, puis, dit brusquement :

-Pardon? Mais elle ne lui répond pas et continue de chantonner…La femme sent un frisson dans son dos, la petite fille lui fait peur…Et son visage, si pâle…

S’impatientant de plus en plus, gênée par les questions que la fillette lui pose, elle resserre le médaillon dans sa paume en jetant de subtils coups d’œil à l’horloge du hall. ''Encore cinq minutes et je pars'', se dit-elle. Puis, fronçant encore ses sourcils, la femme s’approche de l’engin à aiguilles. Sur le papier où indique les chiffres, il y a un ange, une petite fille, aux longs cheveux noirs, le regard dénué d’iris et de pupilles. Puis, elle remarque une inscription gravé dans le bois poli : « La Morte surveille le temps…Le temps surveille la Mort… »

Restant perplexe et en riant en son fort intérieur, elle se demande qui a put écrire cette blague. Pendant un instant, elle eut presque peur…N’ayant regarder que le dessin, elle se retourna vers le pendule. Qu’elle heure peut-il être?

Puis, derrière elle, la femme entendit une voix sombre, une voix sortie de l’Enfer :

-Tu regardes l’horloge, ultima forsan…(La dernière, peut-être…) La femme rousse se retourna et criant de terreur, elle vit

Peut-être que vous n'avez pas entendu parlé de ça, mais une One-Shot se passe en une journée.

Euh?!?! Est-ce que tu es déjà allé sur un site où on publie des histoires Sonunka? Parce que ça s'apelle aussi de One-shot, des histoires qui n'a pas de suite...Alors, je ne vois pas ce que ton message a rapport ici...Est-ce que c'est pour nous contredire ou?

Oui, je suis allé sur des sites où on en publie et à chaque fois que j'en faisais une, on n'arrêtait de me dire qu'une One-Shot doit se passer à une journée.

Si tu le dis Sonunka, mais ton message n'a aucun rapport ici.

Ici, tu lis et tu commentes les histoires.

Merci.

Plutôt morbide Lilith... *S'éloigne tranquillement...*

C'est bien écrit. En fait, elle voit la petite fille (ou la petite fille transformé en...) qui est en fait la mort...

J'aime comme concept! ^^ Un jour, je mettrais peut-être une de mes one-shot... Pas envie aujourd'hui... À toutes!

c'est super bon Lilith ! ^^

Merci à vous deux!

Big Hug!

ALorts voilà... Ça fait un bout que je l'ai fait et publier sur Fiction Press et aujourd'hui, je vous le montre! N'oubliez pas, on garde toujours le meilleur pour la fin!





Toi… Toi que j’aime tant… Pourquoi existe-tu?

Tu devrais disparaître! Me faire si plaisir pour me laisser un goût si amer à la vue de ce que je pourrais devenir. Je t’aime autant que je te hais!

Tu affectes ma santé, mon corps, mon humeur. Et pourtant tu es si mauvais pour moi! Je t’aime autant que je te hais!

Je ne peux pas m’empêcher de me tourner vers toi lorsque ça va mal dans ma vie ou tout simplement quand j’ai envie de toi. Je t’aime autant que je te hais!

Tu est ma bouée de sauvetage quand je me noie. Mon luxe quand je vis. Et mon vice quand je me vois. Je t’aime autant que je te hais!

Je ne peux vivre sans toi. Et pourtant, sans toi je vivrais tellement mieux… Je t’aime autant que je te hais!

Tu est une arme à double tranchant : si bonne et fragile à tes heures, mais en même temps si mauvaise et dure avec moi… Je t’aime autant que je te hais!

Tu prends beaucoup de place dans ma vie. Tu prends beaucoup de place en moi. Pourquoi tu me fais ça? Je t’aime autant que je te hais!

Je pourrais être avec toi pour l’éternité. Mais je pourrais aussi te détester tellement tu me dégoutes parfois. Je t’aime autant que je te hais!

Finalement…Je ne peux m’empêcher de te manger…

Ô mon chocolat bien-aimé!



À propos de la remarque du début… Ce n’était pas : Réflexion un peu bizarre et délirante d’une fille qui a trop fumé! Mais bien : Réflexion un peu bizarre et délirante d’une fille qui a trop mangé de chocolat! ^.^ Ensuite, ça peut paraître banal comme sujet et même futile, mais c’est un sujet qui me touche. J’adore le chocolat, mais je sais que ce n’est pas bon… Enfin…

Tu sais bien que j'adore cet one-shot! loll, elle m'a fait trop rire la première fois que je l'ai lu!

Vive toi mi lynx! (<--- Je le veux pour Noël ce smiley! loll)

Merci beaucoup Lilith! D'ailleurs, j'ai écouté une émission nulle ce matin, mais ils avaient invité un chocolatier... Ze veux du ssocolat!!

P.S: On imprimera le smiley et on le collera partout dans nos cases!

c'est bon! très bon. Si tu enlevait le truc de chocolat, bien sa ferait un beau poême lol.

Déchirée…

J’ai mal. Affreusement mal. Pourquoi suis-je si stupide? Je suis complètement paralysée, dévorée par des cris. Je veux pleurer tous les larmes de mon corps. Je veux mourir…Mais pourquoi, pourquoi personne ne peux m’aimer? J’ai le cœur en mille morceaux…Je souffre. Pourquoi m’as-tu abandonné?

Enragée…

Mes yeux sont rougis, je me regarde dans le miroir. L’image qu’elle me renvoie est celle d’une fille que je ne connais pas, que je ne connais plus. Ce reflet a été violé par l’ignorance. Je suis tellement en colère. Je veux crier mais je ne peux sortir que quelques sanglots étouffés. Je ne me retiens plus, ma haine n’a aucune limite. Je prends la lampe sur la petite table du salon et la lance dans le miroir, pour qu’aucuns de mes reflets ne s’y retrouvent plus.

Aveuglée…

Je ne peux pas trouver le chemin de la raison. Tu m’as tout prix. Mon cœur, mon âme, mon corps…Tu as violé mon esprit avec toutes tes belles promesses qui ne se réaliseront jamais. Je ne suis que bousculé par l’inévitable vérité, tu m’a abandonnée. Je ne verserai plus jamais de larmes pour toi. Tu ne les mérite pas. Tu m’as menti, tu as profiter de ce que mon corps pouvaient te procurer; du plaisir. Je ne suis pas aussi stupide, j’ai compris : je n’étais qu’un jouet pour toi. Je ne suis plus aveugle, non, je te vois maintenant.

Confrontée…

Je le sais bien, je n’ai pas assez de forces pour te battre, ni pour passer à côté de toi. Je perds le Nord, ma tête tourne, tu te moques de moi. J’en ais assez que tu ris de moi. Tu as été mon âme, la seule et véritable. Mais le problème, c’était que tu ne voulais pas de moi; j’étais un fardeau. Je ne peux pas exister dans un monde où tu pourrais vivre, et moi, mourir…C’est pour ça que j’ai décidé de te détruire…

*****

Le jeune homme blond tient sa tête entre ses mains, complètement anéanti. Puis, en attendant des pas, il relève sa tête. Ses sens sont en alerte, la colère explose en lui comme un volcan. Il se lève rapidement et va le rejoindre. Il est beaucoup plus petit, beaucoup plus faible. Il ne veut que le tuer de ses mains. Il le prend subitement par le collet et le lève pour que ses pieds ne touchent presque plus le sol.

-Qu’est-ce que tu lui as fait?! Espèce de bâtard! Va-t’en d’ici ou sinon je te tue! T’as compris? Criss d’épais! Dégage, laisse-la tranquille! L’autre jeune homme est terrorisé, il veut tout lui expliquer; que ce n’était qu’un jeu, qu’il s’amusait et qu’il ne voulait pas lui faire de mal…

Le jeune homme blond le relâche en le poussant voyant des gardes de sécurité approcher. Il leur adresse un petit sourire, les deux gorilles lui lancent un regard, ils ne le quitteront pas d’un œil.

-J-je…Je…

-Allez! Va-s’y, crache le morceau! Je te connais, Sébastien. Je sais où tu habites, où tu traînes avec tes copains quand vous allez vous droguer, je sais tout! Tu pensais que manipuler ma sœur serait un jeu, que c’était une poupée?! L’autre garçon baisse la tête.

-Je m’excuse…

Le jeune homme blond ne se tient plus. Il a envie de le frapper, de l’égorger, d’écraser sa tête contre le plancher.

-Dégage! Tu sais pas ce que tu lui as fait! Tes excuses, c’est juste d’la marde.

Sébastien, apeuré, s’en va presque en courant. Le jeune homme blond, calmé, va dans la petite chambre blanche. Sa mère et son père sont en train de pleurer, ils ne peuvent plus rien faire maintenant. Il l’a regarde, dans le lit. Elle n’a pas voulut se battre, ni pour Sébastien, ni pour la vie…

*****

Je regarde la route. Les véhicules y défilent comme des voiture de course. Ils vont si vite…J’ai décidé de te détruire en moi. Tu étais mon âme, j’en ais plus besoin maintenant; comment vivre avec toi dans ma tête, chaque jour de ma vie? Je veux en finir avec toi, ne plus te voir. Je veux que tu partes, partes loin de moi mais c’est plutôt à moi de partir loin de toi. M’éloigner le plus possible, te faire disparaître, te tuer. Mais comment? Tu es dans ma tête, et maintenant dans mon ventre. Tu restes accrocher à mon corps comme une bouée de secours mais, je ne te veux plus. Tu t’es débarrassé de moi, trop facilement…

Maintenant, c’est à mon tour…J’avance, les voitures continuent à rouler; ils sont si pressés et moi aussi; à en finir…Je marche vers le centre de la route, un crissement de pneu retentit, un long klaxon me hurle de me pousser. Je ferme les yeux et…

-MEURS!!!!!!!!!!!!!!!!

*sèche ses larmes*

Lilith, tu as le Don! Faire ressentir ce genre d'émotions aux autres.... Je t'adore! Tu es trop bonne!

Himo : Peut-être que ça ferais un beau poème, mais "Je t'aime autant que je te hais" (Parce que c'est le titre en passant...) c'est drôle. Je les créé ainsi! Je les créé pour rire au nez de toutes les histoires tristes! Si j'enlevais le chocolat, ce serait comme de le dénaturer... Je ne peux pas faire ça! Il est comme il est et comme il se doit d'être!

Merci Hydra!

loll, ça fait du bien d'avoir des histoires comme: ''je t'aime autant que je te déteste'' alors, il ne faut surtout pas la changer!

Oui je sais! Comme on dit : Après la pluie, vient le beau temps!