Resli

mes poèmes à moi. Dîtes-moi se que vous en pensez...

Dernières pensées

Être libre comme l'air
Aller et venir comme les oiseaux
Choisir ce qu'elle veut faire
Pour les autres, c'était trop !

Elle ne voulait rien de compliqué
Juste vivre comme les autres
Juste être un peu aimé
Mais ses espoirs furent ruinée
Par un traître.

Par la faute de cette personne
Qui a détruit sa vie
Le monde repose sur elle
Qui réflévhit au clair de la nuit

Alors, elle a prit une décision
Quitte à répandre le malheur sur la terre
Elle fera au moin une bonne action
Disparaître...

Je le hais

J'ainerai oublier
Toutes les impuretés
Qu'il m'a donnée
Et au loin les rejeter

Il m'a arraché
Des gens aimés
Une partie de moi
Plus d'une fois

Comment faire
Pour l'envoyer en enfer
Me faut-il une permission
ou simplement une raison ?

On dit qu'un jour, il tombera
On me l'a dit tant de fois
Que je ne compte plus
Que je ne discute plus

Il me poursuit
Et la mélancolie
M'a lentement envahit
C'est devenu une tuerie

Je m'en vais

Je m'en vais bien avant l'heure
Je m'en vais bien avant de te trahir
Je m'en vais avant que l'on ne se laisse aller
Je m'en vais avant que l'on ne puisse en rire
Je m'en vais en gardant toute ton odeur
Je m'en vais en te regardant dormir

Je m'en vais car l'on s'est vu voler
Je m'en vais avant que l'on ne puisse atterrir
Je m'en vais car l'on s'est tant aimer
Je m'en vais avant de te détruire

Je m'en vais pour que tu ne m'oublies jamais
Je m'en vais en te voyant sourire

Je m'en vais en croyant que tout est vrai
Je m'en vais avant de te découvrir
Je m'en vais bien avant de te décevoir
Je m'en vais bien avant de te trahir

Je n'ai aimé que toi
Je t'embrasse jusqu'à en mourir
Je n'ai aimé que toi
Je t'embrasse jusqu'à en mourir

Lune

Le ciel par-delà les vitres brisées
S'assombrit
Comme s'il pouvait
Sous la fourrure souillée
Lire mes prières étouffées

Lune
Scintillante dans le ciel noir
Sur le village qui s'assoupit
Effleurant de ta lumière cruelle
Mes songes égarés

Lune
Astre sans pitié
Qui te ris de mes blessures
Entends ma plainte
Elle fait trembler les murs

Eloigne-toi
Ecarte de moi
Tes rayons acérés
Laisse s'effacer
Les ombres sur le plancher moisi

Ils n'entendront pas
Mes cris assourdis par la nuit noire
Telle une chape de plomb
Ils n'entendront pas
La rage du monstre qui supplie

Le sommeil les berce
A chaque lune
Au retour de la nuit
Il me fuit et m'évite
Lui aussi m'a pris en horreur

Tous me fuient
Tous me fuiraient s'ils savaient
Toi seule
Ennemie constante
Reste fidèle au rendez-vous

Lune
Délecte-toi
De la détresse de la bête
Savoure ma souffrance
Je ne peux rien contre toi

Lune
Reine froide et silencieuse
Du ciel blafard qui me nargue
Lune
Qui me consumes...

Une étoile dans mon ciel noir

Un rayon de lumière
Dans le puits sans fond
De ma nuit

Je croyais la terre
Déserte
Tu m'as montré mon erreur

Toi l'étoile claire
Qui chasse les ténèbres
Envahissant mon cœur

A chaque lune
A chaque instant
Toujours présent

Sans peur ni reproche
Malgré le monstre
Qui sommeille

Une étoile dans ma nuit noire
Emergeant des nuages ricanants
Qui s'emparent de ma terreur

Toi l'astre ami
Qui efface d'un rire
Sa lumière insinuante

Regarde-la
Qui me menace
Je ne crains plus son retour

La rage
M'a déserté
Devant ta crinière ébouriffée

Ne crains pas
Mes coups de griffe
Son poison m'a quitté

Regarde-la
Je lui ris au nez
Elle peut errer dans son ciel vide

Toi seul ami
Etoile claire
Dans mon ciel noir

J'adoooooore!

Très joli... j'ai juste un mot à dire: BRAVO!
Tu as un très beau style de poésie! ^^ Continue!

merci ^^

Tu écit pas mal vite je trouve ... Mais je les trouve exellant.

j'ai avais sur un document Word depuis longtemps

C'est très bien ! J'adore vraiment le poème Lune ^^ ! Super !

merci ! c'est gentil !

Le phénix renait de ses cendres

Le phénix
Renaît de ses cendres
Qui aurait cru
La paix si fragile

Si peu acceptent de voir
Si peu acceptent la vérité
Le Seigneur des Ténèbres
Est de retour parmi nous

Tous unis
Contre le même ennemi
Jusqu'à la mort
Combattre ses mensonges

Et qu'importent
Les haines enfouies
Le rire moqueur
D'un enfant inconscient

Il rit de nos failles
Joue de nos colères innassouvies
Ne le laissez pas
Tirer les fils de la discorde

L'univers
Cède sous mes pieds
Je ne te laisserai pas
Anéantir nos joies

Je hais le combat
Trop souvent dans ma folie
J'ai déversé ma rage
J'ai hurlé dans le noir

Le choix n'est plus à faire
Quand l'orage menace
De crever sur nos têtes
Je combattrai la peur

Tous unis
Pour ne pas perdre espoir
Le phénix
A surgi de la cendre

Je trouve le phénix plus bon. Très aspirant!!!

Merci !^^

Tu peux rire de nous

Il ne reste plus rien
De nos jeux
De nos rêves

Je nous croyais unis
Sa langue de serpent
A semé la trahison dans nos rangs

Sur deux d'entre nous
Je me suis trompé
Pardonne-moi

De t'avoir cru faible
Tu es mort pour lui
Tu es mort pour nous

Et lui qui portait le secret
Traître à nos serments
Traître à l'amitié

Etoile fidèle dans mon ciel trompeur
Tombée dans l'abîme
Dans la boue du mensonge

Tu peux rire
Le ciel s'est éteint
Avec leurs sourires

Tu peux rire de nous

Wow! C'est très touchante, Resli!!!!!!

Comment ai-je pu... ?

La lâcheté se paie.
Comment ai-je pu oublier?
Ce moment qui me torture a l’instant.
Qui m’empêche de dormir le soir.
De toute évidence je l’avais bien cacher dans ma mémoire.

Comment ai-je pu faire semblant?
De ne pas être une victime.
De ne pas avoir été agressé par celui-ci

Comment ai-je pu lui inventer?
Cette excuse ridicule.
Et encore pire.
Comment ai-je pu croire cette excuse?
Je voulais y croire.

Désespérément.
Et maintenant je vois ce que j’étais.
Pathétique et misérable.
Et c’est cela qui me donne envie de hurler.

Me voiler la face comme le dernier des lâches!
Mais, ce qui fait le plus mal.
Et que j’ai été sans défense.

A sa merci comme une enfant.
Car, a 13 ans tu n’es plus une enfant.
Pas tout a fait une adulte.
Mais pas une enfant.

J’aurais pu hurler.
Me mettre a pleurer.
Partir en courant.
Mais, je suis resté la.
Figé comme une statue.
Avec la désagréable envie de vomir.

Et maintenant.
Tout ce que je peux faire.
C’est resté la.
A me fixer dans le miroir.

C'est vraiment beau Resli. J'aime beaucoup celui-là.

Merci^^

Le Silence

L’arme a double tranchant.
Le silence,
Toi qui était ma planche de salut.
Et la pire des punitions.
Je me complaisais dans mon calme
Jamais un mot a propos de ça.
Éviter les regards de pitié.
Tel était l’une de mes plus fortes volonté.
Éviter d’affronter la situation.
Et prendre l’aide offerte.
Je me complaisais dans mon silence.
Qui me permettait aussi d’oublier.
Mais maintenant je dois affronter.
Les cauchemars qui me hantent la nuit.
Je dois les raconter.
Et essayer de les analyser.
Est-ce si évident de dire.
Qu’il m’écœure.
M’effraie.
Et m’empêche de vivre ma vie.
Ce ne l’était pas tellement il y a un an.
Tant de temps c’est écoulé.
Avant que je ne puisse dire une simple phrase.
J’ai été agressé.
Trois mots minuscules.
Qui ne demande même pas beaucoup de force.
Trois mots si facile.
J’ai été agressé.
Et pourtant, juste au j’ai
Tu as déjà la nausée.
Alors autant se taire.
Et se complaire dans ses misères.
Mais, en même temps tu ne peux pas te confier.
Expliquer ce que tu ressens.
Hurler ta haine bien fort.
Hurler ton désespoir.
Hurler ton malheur.
L’arme a double tranchant.
Tel est le silence

C'est beau ton poème sur le silence!!!!!!

Wow!!! C'est super beau!!! Toutes mes félicitations!

Très touchant...Ça t'ai arrivé? Ou tu as été simplement inspirer par ce thème? En tout cas...Bravo. Bravo pour la douleur et la beauté de tes mots. Ils sont simples mais...Je suis très triste pour ce que la narratrice -toi?- Même si le silence est d'argent, la parole est d'or.

Ca ne met pas arriver mais je connais du monde que c'leur est arriver...