Sheïtale

Bon bah mes poèmes sont vraiment pas ce qu'on peut appeler "bien" ... donc hésitez pas à le critiquer si ça vous plaît pas ...

Mon stylo crisse
Sous la lourdeur de mes écrits
Ma vue se brouille
Une larme coule
Le long de mon visage,
Elle tombe sur la page,
Se mèle à l'encre noire
Image de mon désespoir.
Etre heureuse ...
Ce rêve inaccessible
Etre rieuse ...
Cette pensée indescriptible.
Ecrire des choses gaies,
Crois-moi j'aimerais.
Mais mon inspiration
Ne vient que quand j'éprouve une seule émotion ...

Dis-moi,
En quoi je crois
Qui je devrais aimer,
Pourquoi je ne dois pas pleurer?
Je suis dans la nuit noire
Avec aucun phare
Pour me guider.
Je suis en train de couler,
De m'enfoncer
Dans cette tristesse renflouée ...

Chaque poème est une partie de moi
Où la tristesse fait loi
Chaque mot est une pensée
Comme un univers que j'ai créé
Les paroles ne franchissent pas
Mes lèvres devenues barrières
Tandis que sous mes doigts
Se bousculent tous ces vers

C'est en me lisant,
Que tu comprends maintenant
Que je ne suis pas celle que tu croyais
Je ne suis plus celle que tu as aimée
Tu me reproches à présent
Chaque pensée, chaque sentiment
Mes rêves ne sont plus qu'illusions
Ma vie est devenue un poison ...

L'océan de mes pensées
N'est plus qu'un abîme sans fond
Qui voudrait l'explorer
S'y perdrait dans tous ses tréfonds
Même moi je n'y comprends rien
Ces mots ne sont plus les miens
Tout en entier mon esprit
N'est plus qu'un grand puit
Tous mes sentiments l'ont fui
Ne restent que ces cris ...
Cet oubli, cette tristesse,
Cet amour, ma détresse.
Mes larmes veulent franchir
Ces barrières que j'ai voulu bâtir.
Un mur se dresse
Telle une ombre traîtresse
Personne ne pourra dénouer
Le noeud qui s'est formé
Dans mon esprit,
A l'intérieur de ma vie ...

Murée dans un silence
Désespérée, sans aucune espérance
Tout s'effondre en moi
Je ne sais plus en quoi je crois.
Un torrent de tristesse,
Un ouragan de détresse...
Je marche dans la nuit noire
Seule, dans mon désespoir
Quelques lumières brillent
Mais elles demeurent inaccessibles.
Enveloppée dans la pénombre
Entourée de ses ombres...
Vivre c'est d'abord le vouloir
Oublier ce désespoir.
Je m'enfonce dans les ténèbres à jamais
Pour en ressortir transformée ...

Dans ma tête, ce cri silencieux
Je ne sais plus ce que je veux
Mourir
Ou survivre ...

A quoi bon exister
Quand l'existence paraît si noire,
Qu'il ne reste à jamais
Que du désespoir.
Vivre dans les rêves
Attendre que tout s'achève
Puis retomber,
Finir par assumer
Cette vie sans but
Qui, chaque jour, devient une lutte.

A quoi bon les fuir
Pourquoi pas en finir ?
C'est un combat inégal
Une guerre sans raison
Qui fait tellement mal ...
C'est toujours la même chanson :
... Croire et rêver,
Vouloir et espérer,
Entendre et pleurer,
Comprendre et oublier ...

Tu m'avais redonné l'espoir
De croire en un monde meilleur
Fait disparaître le noir
Qui comblait mes peurs
Cette envie de croire en cette chance,
A de nouveau disparue,
Telle une vaine croyance,
Qui fut encore une fois déchue...
L'espoir s'est maintenant enfui
La blessure s'est à présent guérie
Ma pensée s'est détachée
J'ai fini d'espérer
Je me contente du présent.
Le brouillard de mon esprit
A brouillé mes sentiments
A étouffé les cris
Que j'ai voulu pousser.
La tempête s'est aujourd’hui calmée
Et je reste sur ce souvenir
Du jour où j'aurais pu cesser de souffrir ...

Je crois que la vie
Se résume en quelques cris
Cris de joie, cris de bonheur
Cris de tristesse, cris de malheur
A quoi bon espérer
Dans ce monde inchangé
Les mêmes histoires à répétition
Les mêmes rêves, les mêmes chansons
C'est fini j'abandonne cet espoir qui était le mien
Celui qui m'emmenait si loin
M'élevait dans cette inconscience.
Je préfère cette ancienne ignorance
Plutôt que de savoir à présent
Que j'ai renié mes sentiments
Fini de croire
Je ne veux plus voir
Ceux qui m'entourent
Et les quitter pour toujours...

" Regarde le ciel, que vois-tu ? "
L'horizon lointain,
Toute cette vie perdue.
Comment surmonter cette peine ?
Mes sentiments reviennent au galop
Tous à la fois
Vraiment de trop
Pour que j'y croie...
Ai-je envie de continuer
Pourrais-je encore rêver
Seulement à quoi bon s'élever
Dans ce qui est inaccessible
Puis retomber
Dans cette vie pénible ...
Maintenant Hippo
Coule dans les flots
Que sont cette tristesse
Et cette douleur traîtresse...

Le silence règne autour de moi,
La tristesse fait sa loi.
Des soupirs poussés sans bruit,
Tel de sombres pensées
Tirées de l'oubli,
L'envie de tout arrêter...

Ils disparaissent pas à pas
Laissent place au désarroi
Je ne suis plus qu'une ombre,
Pâle souvenir de moi-même
Mes yeux deviennent sombres,
Tristes, emplis de peine.
Spectatrice d'actions
Que je fais sans raison,
Je demeure ailleurs
Fouillent dans mon coeur,
Mes pensées, mon esprit,
Cherchant un sens à ma vie...

Mon coeur saigne.
Pourquoi cette peine
Revient-elle à présent
Alors que j'ai renié mes sentiments ?
Ses paroles reviennent par mots,
Celles qui ont attiré mes sanglots.
Se détacher de l'impossible,
Cet espoir devient risible ...
Les barrières ont cédé
Mes larmes coulent désormais
De mes yeux sur mes joues
Les paysages deviennent flous.
Le brouillard est dans mon esprit,
Etouffe tous ces cris
Que je voudrais pousser
Pour pouvoir enfin m’exprimer ...

L'orage gronde au dehors
Résonne dans ma tête, dans mon corps.
C'est dans ces moments d'ennui
Que la brume envahit mon esprit.
Le ciel est gris,
C'est cette couleur
Qui, à présent, a conquit
Chaque parcelle de mon humeur.
Ce silence ... mais pourtant tant de bruit
Ce silence ... où ricochent tous mes cris

J'ai pris ma décision
Fini de coucher mes mots sur du papier
Cesser d'écrire les mêmes choses à répétition
Pour faire semblant d'exister.
Cela ne rime a rien.
Ces mots qui sont les miens,
Resteront dans ma tête, dans mon coeur
Je garderai à l'avenir ces peurs
Jusqu'au dénouement et la poursuite de mon vivant
Ou jusqu'à l'effondrement et l'extinction de mes sentiments

Ce n'est pas une lettre d'adieu
Juste une promesse faite plus haut que les cieux
Celle de sourire ...
... Ou d'en finir

Telle la flamme d’une bougie,
Mon cœur vacille, tremble dans la nuit ;
Cette noirceur qui a remplit
De nouveau mon esprit …
Ca n’aura duré qu’un temps
L’espace d’une seconde un instant.
De cet espoir envolé au firmament,
Ne reste plus que ce manque omniprésent…
Mon âme est déchirée,
Mon cœur éparpillé,
Le vent finira par se calmer
Ne restera plus que des morceaux égarés…
Quand le temps aura passé
Que tout sera oublié
Peut-être pourrais-je y repenser
Mais aujourd’hui je ne fais que regretter …

woouaw...
je suis complètement "sous le charme"!!
j'aime bien tes poèmes,ils sont très réussi
bravo a ma-demoiselle-la-mignone-pitite-louve-rose-qui-ressemble-a-une-adorable-peluche!!!!!

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